Nous passons souvent du temps à nous soucier de l'opinion des autres. Cela nous rend nerveux, peut nous faire fuir et manquer des opportunités. Plus que tout, ces préoccupations nous privent de la joie d'une vie plus paisible et plus remplie.
Voici neuf façons de reconnecter son cerveau pour qu'il se soucie moins de ce que pensent les autres :
Comprendre la véritable nature des pensées
Beaucoup d'entre nous considèrent les autres comme des menaces potentielles parce qu'ils interprètent mal leurs pensées. Nous confondons la source de notre stress. Nous pensons que le stress provient de choses et d'événements extérieurs, comme une fête avec des personnes que nous ne connaissons pas. En réalité, le stress vient de l'intérieur, en fonction de la façon dont nous percevons le monde. Nous ne pouvons pas ressentir le stress tant que nous n'avons pas porté de jugement. Plus nous pensons être en danger, plus nous nous sentons en danger. Le simple fait de comprendre et d'assimiler cette réalité peut beaucoup aider.
Abandonner le besoin de "confiance en soi"
La confiance en soi est une construction mentale. Lorsque nous voyons quelqu'un qui semble avoir confiance en lui, nous voyons surtout deux choses :
L'expérience.
L'absence de pensées autocritiques.
Nous n'avons pas besoin d'un sentiment de confiance pour agir. Nous pouvons toujours choisir d'agir même lorsque nous nous sentons mal à l'aise.
Abandonner la croyance que les autres peuvent influencer notre bonheur
Penser que les autres ont le pouvoir d'affecter notre estime de soi ou notre bonheur est une croyance puissante. Nous associons le rejet à une sorte de perte. Mais nous n'avons rien à perdre, car l'estime de soi - comme la confiance en soi - est une construction mentale. Personne n'a le pouvoir de diminuer ou d'augmenter notre bonheur, car nous pouvons y accéder quand nous le voulons.
Cesser de rechercher l'approbation des autres
Lorsque nous pensons que nous gagnons à être validés de l'extérieur, notre joie est désormais à la merci des autres. Nous devenons une victime. L'une des mesures les plus efficaces que nous puissions prendre est de comprendre que le monde ne s'arrête pas lorsque nous cessons de modeler nos comportements pour plaire aux autres. Tout va mieux.
Savoir que la personnalité n'est pas permanente
Une autre croyance qui entrave notre joie authentique consiste à penser que la personnalité que nous avons développée au lycée est immuable. Or, notre personnalité change tout au long de la journée, en fonction de notre état d'esprit. Nous pouvons trouver la paix en réalisant que nous sommes introvertis ou extravertis, mais que nous sommes aussi des êtres humains à multiples facettes. L'état de nos pensées détermine ce que nous ressentons et, par conséquent, notre comportement. La seule chose qui nous limite, c'est l'idée que nous vous faisons de nous-même.
Développer une perception de soi plus aiguë
Quelqu'un a dit quelque chose qui vous a offensé. Cela vous a mis en colère jusqu'à ce que, un an plus tard, vous réalisiez qu'il avait raison et que vous auriez dû l'écouter. Une meilleure perception de nous-même nous permet d'éviter les réactions spontanées. La prise de conscience est la meilleure forme de gestion de la pensée, vous libérant des mauvaises décisions et des peurs inutiles.
Repenser ses insécurités
Les insécurités sont des pensées sur nous-mêmes qui nous rendent "mauvais". Elles sont toujours erronées. Les fausses croyances de ce type peuvent toujours être repensées. Supposons que nous croyions : "Je suis paresseux". Lorsque nous trouvons suffisamment de preuves pour étayer le contraire de cette croyance, à savoir que nous pouvons être motivés, la croyance s'évanouit et meurt. Il en va de même pour notre insécurité. Vous trouverez toujours suffisamment de preuves pour soutenir le contraire de toute insécurité que vous entretenez.
Se pardonner
Beaucoup d'entre nous passent leur vie à porter le fardeau de quelque chose qu'ils ont fait et pour lequel ils se jugent. Nous avons l'impression d'avoir quelque chose à cacher, ce qui nous paralyse. La solution est de trouver la partie compatissante en vous et de passer du temps à trouver une bonne raison de vous pardonner. Chacun fait du mieux qu'il peut compte tenu des idées qu'il a à un moment donné. Vous n'êtes pas différent.
Contre les pensées négatives (gratuit) :
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